Bienvenue sur: nadine-leon-auteur.wifeo.com |
Cette étude approfondie du récit Impur s’insère dans une recherche plus large que je suis en train de faire sur le pouvoir des mots. Recherche qui me porte à étudier non seulement les archétypes mais aussi le pouvoir magique que les antiques cultures accordaient aux mots. En particulier, ce pouvoir venait exercé pour aider les humains à surmonter les épreuves durant les diverses étapes de la vie.
Selon la sagesse orientale, l’innocence est l’une des premières conditions pour rejoindre l’illumination. Une innocence qui transcende la misère humaine, la nôtre, celle héritée de nos parents, celle de l’histoire de l’humanité et que l'on peut retrouver à travers un parcours de purification.
Qu'aucun ne grave une rune s'il n'est pas capable de l'interpréter ni de la dominer.
– Saga di Egill
La capacité de raconter introduit un mécanisme de libération et de résilience. À travers le récit il y a une forme de délivrance. Le fardeau peut être partagé et devenir ainsi moins lourd. Notre souffrance personnelle devient alors souffrance universelle. C’est pourquoi le récit est important parce qu’il permet d’élaborer le propre vécu de souffrance et de le consigner aux lecteurs qui représentent l’altérité, activant ainsi un processus de transformation.
Nadine Léon
La tradition scandinave reconnaît un pouvoir magique aux runes, dans le sens qu'elles peuvent produire une certaine résonance sur qui en prend lecture (ou même les porte sur soi sous forme d’amulettes) ayant la capacité de changer, à un niveau subtil, les fréquences vibratoires et de mettre en contact la personne avec la propre intériorité, à travers le message archétypique qu’elles contiennent. On leur confère un pouvoir de guide, de protection ou de guérison.
Sous ce profil, la rune de protection du récit IMPUR, ainsi que ma recherche, pourrait être Ansuz …